Tizi Ouzou Vers la labellisation de l’huile d’olive

Un projet destiné à la labellisation de l’huile d’olive produite dans la wilaya de Tizi Ouzou est en cours de concrétisation grâce à un programme de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO (Food and Agriculture Organisation).

«Ce programme est chapeauté par l’Institut technique de l’arboriculture fruitière et de la vigne (ITAFV) d’Alger et  est destiné à la valorisation des produits du terroir dans les régions montagneuses du pays», selon Karim Kouraba, chef du service Aménagement rural et promotion des investissements (ARPI) à la direction des services agricoles (DSA) de Tizi Ouzou.

Il affirme que Tizi Ouzou fait partie des cinq régions du pays retenues pour accueillir le projet consistant en une «assistance technique pour la promotion de la production de l’huile d’olive en Algérie».
Il s’agit dans un premier temps de «regrouper les données relatives à la filière oléicole dans la wilaya», dira-t-il. Ce travail se fait actuellement sur le terrain, auprès des oléiculteurs, mais aussi chez les oléifacteurs, souligne notre interlocuteur, expliquant que cela servira notamment à cerner toutes les habitudes des oléiculteurs dans le processus de production, de la récolte et de la conservation de l’olive, ainsi que les méthodes de trituration. Il ajoute que d’ici l’année prochaine, le projet entrera en application dans certaines exploitations et huileries selon les directives de la FAO.

«Un cahier des charges sera établi par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture ainsi que par l’ITAFV d’Alger sur la base des renseignements recueillis. Il portera sur des orientations destinées aux agriculteurs et aux propriétaires des huileries afin d’améliorer la qualité du produit et parvenir à proposer un vrai produit bio pour la commercialisation», soutient notre interlocuteur. La wilaya de Tizi Ouzou est connue pour l’abondance de sa production en huile d’olive.

Les prévisions de cette année établies par la direction de wilaya sont de près de 700 000 quintaux d’olives et de 11 millions de litres d’huile, sur une superficie d’oliveraies de 32 800 ha, dira  Rachid Rahmania, DSA de la wilaya.
La qualité de l’huile d’olive conditionne le développement de la filière et la labellisation du produit. Les oléiculteurs de la wilaya n’utilisent certes pas de pesticides dans leurs cultures, mais les méthodes de récolte, de conservation ainsi que celles de la trituration ont longtemps été déplorées par les spécialistes, qui relèvent un taux d’acidité trop élevé dans l’huile d’olive. Il reste cependant que des producteurs ont déjà réussi le pari d’un produit bio ainsi que celui de l’exportation.
L’huile d’olive de Tizi Ouzou est ainsi exportée depuis quelque temps vers la France, le Canada ou la Côte d’Ivoire grâce aux expériences de deux exportateurs de Tizi Gheniff et de Larbaâ Nath Irathen, soutient le directeur des services agricoles de la wilaya.

Sources ; http://www.elwatan.com/regions/kabylie/tiziouzou/vers-la-labellisation-de-l-huile-d-olive-14-10-2017-354590_144.php

La figue de Beni-Maouche gagne du terrain malgré les obstacles

La localité de Beni Maouche, à environ 90 kilomètres au sud de Béjaïa, vit depuis hier la 15e édition de la fête de la figue.

La manifestation a vu la participation de 150 exposants venus de 8 wilayas. Une virée entre les stands, installés dans le marché communal, donne un aperçu sur une activité qui semble en progression, malgré des difficultés liées, notamment, à l’organisation du marché. Bekka Mohand Ameziane, de la commune d’Aït Djelllil, possède environ 200 figuiers qui produisent 8 à 10 quintaux par an. «Le figuier est un arbre exigeant. Il faut l’entretenir, le tailler et bêcher son sol. Aujourd’hui, la figue sèche est valorisée. Avec un prix moyen de 80000 DA le quintal, le figuiculteur peut facilement couvrir ses frais et dégager des bénéfices», confie-t-il.

L’Etat a contribué dans le développement de cette activité à travers l’ouverture des pistes agricoles, qui ont permis aux figuiculteurs d’utiliser des tracteurs. «Auparavant, on travaillait nos vergers à la main et c’était très difficile. On avait aussi des difficultés pour faire rentrer la récolte. Depuis l’ouverture des pistes, nous utilisons des tracteurs, le travail est devenu moins pénible et la récolte plus abondante.»

Mais les figuicuteurs, livrés à eux-mêmes en cas de catastrophes naturelles, à l’exemple des feux de forêt et les intempéries qui détruisent la récolte, attendent plus d’engagement de la part de l’Etat. «On ne nous rembourse rien en cas de catastrophe», regrette notre interlocuteur. Et d’ajouter : «Nous demandons aux pouvoirs publics de nous aider à acquérir de petits tracteurs à chenilles qui sont mieux adaptés au relief escarpé de notre région.

Un tracteur à chenilles coûte aujourd’hui 450 millions de centimes. Nous demandons à l’Etat de nous permettre de le payer par facilité.» Selon Mohand Ameziane, le producteur vend sa figue à 600 DA le kilo aux commerçants qui la revendent 800 DA. Sa récolte, une fois séchée, est répartie en 3 catégories : «takherboucht» est troquée contre des dattes ou des légumes, on peut aussi la vendre environ 50 DA le kilogramme ; «taâoulit» dont le prix tourne autour de 150 DA et enfin«taâmriout», qui est vendue, en fonction de sa qualité, entre 500 et 1000 DA le kilogramme.

Le montant des aides de l’Etat destinées aux agriculteurs de la wilaya de Béjaïa, durant la période allant de 2000 à 2015, est estimé à 280 millions de dinars. La part de la figuiculture dans ces aides est «insignifiante», avoue un cadre de la Direction des services agricoles (DSP). Il explique cette situation par le fait que la région de «Beni Maouche ne dispose pas de terrains nus alors que les aides sont essentiellement destinées aux plantations».

La concurrence de la figue turque

Du côté des sociétés spécialisées dans le conditionnement de ce produit de terroir, on évoque des contraintes d’une autre nature. Halim Bara, gérant d’Agrofigue, société basée à Bousselam, dans la wilaya de Sétif, déplore «le manque de sensibilisation» des producteurs de la figue. Le jeune entrepreneur estime nécessaire de donner les moyens aux producteurs afin qu’ils puissent connaître les normes et les respecter en ce qui concerne le séchage et le triage de la figue. Selon lui, les problèmes sont légion : «La direction de la concurrence et des prix (DCP) ne fait pas son travail correctement. Pour valoriser la figue sèche, il faut qu’elle soit contrôlée.

Dans les marchés et les magasins, c’est le désordre total. Des produits sont mis dans des sacs en plastique avec des étiquettes contenant de faux noms et de fausses adresses.»  Et quand un opérateur spécialisé dans le conditionnement présente aux commerçants un produit de qualité, bien emballé, il est confronté au casse-tête des prix. «Nos concurrents proposent des prix bas, parce qu’ils ne payent pas d’impôts, n’investissent pas dans le packaging. Bref, ils n’ont pas un nom et une réputation à défendre», explique-t-il.

M. Bara se plaint aussi du fait que «la figue n’existe pas dans le code fiscal bien qu’elle soit un produit de terroir tout comme l’huile d’olive et la datte auxquelles on applique une TVA de 8%». «A la direction des impôts, on m’a demandé de m’adresser aux services de la Douane pour déterminer le taux de la TVA, ce qui veut dire que notre produit sera taxé comme ceux qui sont importés, soit une TVA à 17%.

C’est insensé.» Le gérant d’Agrofigue indique que les producteurs et les opérateurs locaux font face à la concurrence de  la figue turque qui, selon lui, bien qu’elle soit de «piètre qualité» a réussi à gagner des parts de marché en misant sur le packaging : «La plupart des consommateurs algériens sont attirés par l’emballage et achètent ce produit importé qui coûte plus de 1000 DA le kilo.»

Il a rappelé qu’en 2014, les producteurs nationaux ont dû céder leur produit à des prix très bas, jusqu’à 200 DA le kilo, parce que le marché était inondé par la figue sèche importée de Turquie. En somme, le jeune opérateur estime «impossible, dans les conditions actuelles, d’exporter parce que le marché est désorganisé et les producteurs ne respectent pas les normes internationales».

Sources : http://www.elwatan.com/economie/la-figue-de-beni-maouche-gagne-du-terrain-malgre-les-obstacles-27-10-2017-355490_111.php

Un chocolat aux figues est né à Beni Maouche


Il ne s’agit pas d’une blague ou de la science fiction mais d'un projet réel : Un chocolat avec un taux d’intégration local de 70% est né sur les hauteurs de la Vallée de la Soummam, plus exactement au village Tiwal dans la commune de Beni Maouche wilaya de Bejaia.

Une louable initiative menée par une équipe de trois jeunes a donné des résultats prometteurs en ces moments de crise économique. Ils ont réussi à produire un chocolat 70% algérien en utilisant la figue fraiche et sèche produites localement. Tout a commencé lorsque ces trois jeunes Amar Abid 33 diplômé en HSE, Elyas Bouguider 32 ans titulaire un diplôme en marketing et Racham Tarik ingénieur biologiste ont décidé en 2015 de fusionner leurs entreprises pour se lancer dans la transformation des légumes et fruits (Sarl Tiwal Royaume). « Après de longues discussions entre nous avons décidé d’aller ensemble en lançant officiellement notre boite en janvier 2016. Une entreprise spécialisée dans la transformation des fruits et légumes et la valorisation des produits de terroir », nous a confié Amar Abid rencontré à la fête de la figue organisée les 26, 27 et 28 octobre à Beni Maouche. Interrogé sur le choix du créneau, il nous dira que le succès que rencontre le chocolat à base de la figue préparée d’une manière artisanale par des habitants de Beni Maouche et les régions avoisinantes leur a donné une idée. « Nous avons constaté que le chocolat traditionnel préparé avec la figue séduit toute personne le déguste, alors on s’est dit qu’il était temps de doter notre région d’une industrie moderne de chocolat de la figue », a-t-il expliqué.

Après avoir acquis des machines modernes dans le cadre des dispositifs de l’Agence nationale de l’emploi de jeunes (Ansej), l’équipe s’est focalisée sur la préparation des recettes qui associeront le goût du Cacao à celui de la figue. L’effort de l’équipe est couronné par la découverte de deux recettes. Une à base de figue sèche et la seconde avec la figue fraiche. « 70% de nos intrants sont issus du marché local. Nous utilisons les deux types de figues nous achetons auprès des agriculteurs locaux. C’est un exploit d’arriver à produire du chocolat avec 70% des intrants locaux », se réjouit-il. Il enchaine : « Si nous ajoutons l’emballage produit également en Algérie nous dépasseront ce taux d’intégration ».

Franc succès à la fête de la figue

Disponible à la fête de la figue, le chocolat avec la figue fraiche a rencontré un franc succès, a-t-on constaté sur place. « Nous n’arrêtons pas d’enregistrer des commandes qui viennent d’Alger, d’Oran et même de l’étranger », affirme notre interlocuteur. Il ajoute : « Notre capacité actuelle de production est de 400 boites par jour ne couvre pas toute la commande ». En outre, il souhaite prendre part à la prochaine Salon du chocolat et du café qui aura lieu le mois de février 2018 à Alger.

Pour les perspectives, l’équipe pense déjà à agrandir leur bisness et à viser les marchés extérieurs. « Des opérateurs économiques espagnols et français nous ont manifesté leurs volontés de placer notre produit sur le marché européen et ce, après l’avoir goûté et analysé », a-t-il révélé.

Par leur projet, les fondateurs de Tiwal Royaume pensent avoir accompli une tâche noble celle de préserver la culture de leurs ancêtres. « Nos parents et grands parents ont vécu grâce à cette récolte qui a failli disparaitre ces dernières années », a-t-il dit. « Maintenant, les enfants peuvent manger de figues sans se rendre compte », poursuit-il.

Sources : http://nessahra.com/un-chocolat-aux-figues-est-ne-beni-maouche/

Les mille et unes saveurs du Chenoua

Les mille et unes saveurs du Chenoua

-La sardine : Comme tous les poissons gras, la sardine présente une teneur élevée en acides gras instaurés oméga 3 qui lui confèrent des effets protecteurs sur la santé. Source de protéines de qualité, elle apporte d’importantes quantités de vitamine B12, vitamine D, mais aussi du calcium, du sélénium et du phosphore.

-Graines de fenouil : Avec une saveur proche de l’anis, les graines de fenouil accompagnent parfaitement le poisson, les fruits de mer ainsi que les viandes blanches. Elles sont également parfaites pour rehausser les sauces d’apéritif ou les sauces pour les viandes.

-Thym : Consommez-le frais, il est alors très puissant en arômes surtout si vous en pressez les feuilles avant de les incorporer au plat. Pensez à les émietter si vous souhaitez qu’elles restent dans la préparation. Sinon, utilisez le thym en branche : vous pourrez ainsi le retirez à la fin de la cuisson.

-Semoule moyenne : Obtenue par mouture grossière de grains humidifiés de blé dur, suivie d’un séchage et d’un tamisage. La semoule moyenne ou fine est en quelque sorte le produit intermédiaire entre le grain et la farine.

-Menthe : C’est la menthe verte qui est la plus couramment utilisée en cuisine et c’est donc surtout elle qu’on trouve dans le commerce. Ses feuilles devraient être bien fraîches, vertes, sans taches ni jaunissement.

-Courgette : Composée à 95% d’eau, la courgette est un légume peu énergétique. L’essentiel de son apport calorique est dû à ses glucides, les protéines et les lipides étant présents en très faibles quantités.

Faten Hayed

el Watan

"Dar’Maa", le pari réussi d’un jeune passionné pour le tourisme du terroir

BOUSAADA (M’sila)- La maison d’hôtes "Dar’Maa" à Boussaâda, est le pari réussi d’un jeune passionné en hôtellerie qui a le mérite de renforcer les capacités hôtelières limitées de cette région à vocation touristique et traduit l’impératif de l’implication du privé dans ce domaine.

"Dar’Maa" (la maison de ma mère) est l’ingénieuse idée de Mohamed El Bachir Abdelatif, un passionné du domaine de l’hôtellerie et de la restauration qui y a cru et s’y est investi sans relâche, jusqu’à la mettre sur pied et la voir grandir, doucement et sûrement. Ce trentenaire, né en France de mère française et de père algérien et titulaire d’un diplôme d’hôtellerie-restauration, a opté, il y a cinq (5) ans, pour s’installer dans son pays et sa ville d’origine, Boussaâda, afin d’y pratiquer et parfaire son talent.

Après avoir exercé dans les quatre coins de France et en Angleterre dans des restaurants gastronomiques et traditionnels, des clubs de vacances, etc..., Mohamed, s’est rendu à l’évidence d’un milieu "extrêmement concurrentiel"   et où il est "difficile de s’imposer", au moment où il entrevoyait davantage de chances dans son pays d'origine.

Il entame son aventure "au bled" par l’ouverture d’un restaurant dans la ville de Boussaâda spécialisé dans la cuisine française et la cuisine rapide, pour se démarquer. Et cela "a bien fonctionné"!, se réjouit-il, précisant qu’en parallèle, il offrait ses services en tant que traiteur pour les besoins de restauration à l’extérieur, entre autres pour les groupes de touristes étrangers en visite dans cette pittoresque région.

Le jeune restaurateur a pensé, en outre, à louer une Khaïma (tente traditionnelle) qu’il a fini par acquérir, afin d’y offrir aux vacanciers et autres touristes les mets du terroir, réputés pour leur saveur  particulière.

Au bout d’une année, le projet d’une maison d’hôtes a surgi dans sa tête à  la faveur d’un déclic: "Une famille de touristes français en visite à Boussaâda le temps d’un week-end avait décidé de prolonger son séjour au Kerdada mais l’hôtel était complet. Je lui ai alors proposé de l’héberger dans la villa familiale, elle a pu ainsi rester une semaine dans la région", se remémore-t-il.

Tout en s'investissant pour aménager les chambres d’hôtes, plus d’une dizaine, Mohamed a poursuivi l’activité liée à la restauration pour divers clients (institutions, touristes, hôteliers...). Si durant la première année, le nombre de clients était timide, celles suivantes ont conforté le jeune promoteur quant à la pertinence de son choix : parce que les premiers pas sont toujours délicats, Mohamed n’a pu comptabiliser qu’une cinquantaine d’hôtes au départ. Un nombre qui allait évoluer au fil des années pour atteindre 400 durant l’année en cours.

Mohamed qui se contente des réseaux sociaux comme support publicitaire préfère bâtir sa réputation sur le  "bouche à oreille"  véhiculé par une clientèle convaincue par la qualité des prestations de services plutôt que sur un "matraquage qui peut s’avérer ensuite trompeur" .

Le jeune promoteur, qui voit grand, envisage de nouveaux projets, dont l’acquisition d’une seconde khaïma fixe (50 places) offrant toutes les commodités nécessaires pour des séjours de quelques jours en bivouac, avec l’avantage d’être dans la périphérie de la ville. La khaïma amovible étant destinée aux amoureux des randonnées  et des explorations lointaines.

Un parc hôtelier limité

 Bien qu’étant considérée comme une des destinations les plus réputées d’Algérie, les capacités d’accueil hôtelières à Boussaâda demeurent en-deçà de son potentiel touristique : les principales structures hôtelières de la ville étant "le Caïd" et "le Kerdada", auxquelles s’ajoutent un infime nombre de moindre catégorie, comme  "l’hôtel d’Alger". Les deux premières enseignes sont les plus indiquées pour une clientèle moyenne, les séjours de détente, d’affaires, etc. Néanmoins, elles s'avèrent incapables de résorber la forte demande durant les hautes saisons (fêtes de fin d’année, week-ends, vacances scolaires), durant lesquelles elles affichent un taux d’occupation de 100%.

Ceci, d’autant plus que le très prisé "le Kerdada" subit depuis quelques semaines une nouvelle opération de lifting, après celle d’il y a onze ans, afin d’offrir à sa clientèle un cadre plus rénové et de meilleurs services.

Avec ses 74 chambres, dont 13 luxueuses et 5 suites, "le Caïd", entièrement modernisé et de haut standing n’est, de surcroît, accessible qu'à une catégorie restreinte de bourses.

Il est à souligner que le Kerdada et le Caïd relèvent de la chaîne El-Djazair qui englobe également l’ex-Saint-Georges (El-Djazair), Saoura et Gourara.

"De nombreux touristes, nationaux et étrangers, se plaignent ainsi du manque d’infrastructures hôtelières et sont parfois contraints de séjourner ailleurs alors qu’ils auraient préféré passer leurs vacances ou week-ends dans cette région qu'ils affectionnent particulièrement"!, observent, avec regret, de nombreux Boussaâdis.

Sources : http://www.aps.dz/regions/59423-dar-maa-le-pari-reussi-d-un-jeune-passionne-pour-le-tourisme-du-terroir